[REYNAUD,
Jean. Terre et ciel. Philosophie
Religieuse. Furne et Cie. Éditeurs. Quarta edição. 1863.
NOTA: sonho de um perfeccionário:
“Quand je juge de ce qui
doivent se dérouler devant lui ? Quand je juge de ce qui se fera d’ici à
huit ou dix mille ans ou même davantage, d’après ce qui fait depuis une
centaine d’années que l’industrie a décidément commencé son mouvement, je
n’hésite point, je l’avoue, à lâcher à mon imagination toutes les brides ;
et pour l’Océan en particulier, je m’aventure sans peine jusqu’à rêver quelque
invention pas laquelle on arriverait à le mettre aux prises avec la chaleur
centrale ; et dès lors, du sein de ces masses maintenant inertes, voyons,
s’il vous plaît, jaillir à volonté les transformations les plus extraordinaires
dans les conditions de l’existence de l’homme sur sa planète. Ne fût-ce même là
qu’une fantaisie poétique, que cette fantaisie serve du moins à nous peindre la
témérité qu’il y aurait à condamner, comme incommode et inutile, une ordonnance
dont nous ne sommes nullement assurés jusqu’ici de connaître le fond. »(op.cit. : 67)]
O
primeiro desdobramento do sonho perféctil é exatamente o da indústria, digo, a
capacidade de criar, de produzir, de saber-fazer. O que Reynaud sugere é que
não obstante sermos capazes de vivermos num determinado ambiente com o qual
temos um dado grau de acordo formal, este mesmo acordo não é suficiente para
caracterizar a atividade humana. Isso porque, e o exemplo é do mesmo Reynaud,
ao perdermos diariamente a luz solar que nos envolve no breu ou na luz pálida
da lua, revestimos outros ambientes mais próximos de nós de forma a produzirmos
a luz que então nos é necessária. Não é o caso de simular luz, mas de produzir
aonde, sem a indústria não haveria senão breu. De alguma forma, não é difícil
estender esta filogênese da indústria até o equipamento laboratorial ou à toda
gama de atividades de ensaio que são, nestes termos o mesmo que produção
(op.cit.: 70-72). O privado e o público podem sofrer um gradiente delicado que
se estende, mais uma vez, até o natural que fará as vezes, ora e vez, de terra
selvagem em termos muito precisos.
“De
plus, comme toutes nos affaires, hors de nos domiciles, ne nous appellent pas
nécessairement dans la campagne ; comme les voies publiques sont, aussi
bien que nos appartements, un terrain limité dont la fréquentation est
continuelle ; comme il y a enfin une sortie d’intermédiaire entre nos
possessions domestiques et celles où nous ne pouvons songer à dompter aussi absolument
la nature, il nous reste, si je puis ainsi dire, la ressource de prolonger nos
toits au delà de nos maisons. »(op.cit. :72)
E
então a vida moral do laboratório encontra uma forma de filogênese, ao mesmo
tempo em que a extensão do espaço doméstico constitui aquilo que, logo mais
será a construção de meios para que possa haver o transporte – a transmigração.
Contudo, a partir de um determinado ponto, a extensão acaba e então, escreve
Reynaud, estamos mais uma vez entregues à tirania da natureza. Contra a
tirania, o melhoramento:
“Mais, de quelque végétaux que l’homme
parvienne à enrichir encore ses champs et ses jardins ; de quelques
animaux, transformés pas sa discipline, qu’il imagine d’accroître ses
basses-cours, ses haras, ses troupeaux ; en un mot, sans le détailler,
quelques acquisitions qu’il lui reste à faire dans le monde sauvage, on ne peut
douter qu’il n’y ait un limite à laquelle il doive s’arrêter, et qu’il ne lui soit par conséquent interdit de tenir
jamais sous sa main et à son profit tout ce qui existe autour de lui sur la
terre. Ne seraient-ce que ces armées de mollusques et de zoophytes qui habitent
dans les incultures de l’Océan, une fraction considérable du peuple de la planète
semble trop étrangère à l’homme pour ne pas conserver à perpétuité son indépendance
native; et il est même presque évident que, pour achever de nous établir
convenablement sur la terre, nous n’avons pas moins de races à éliminer qu’a
soumettre.» (op.cit. 85).]
Está em causa a posse da terra.
Está em causa a posse da terra.
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